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Paroles de Marie-Françoise et Jean-Paul, acquéreurs d’un multiple de Rudy Ricciotti et qui changent régulièrement leurs oeuvres de place dans leur appartement (photos ci-dessous)…
« Pour que l’envie d’acquérir une œuvre me gagne, il faut que trois éléments se rencontrent :
Que l’œuvre me séduise pour tout ce qu’elle me chuchote, c’est l’aspect plaisir
Que le dérangement qu’elle me produit sur mes acquis, mes références mes repères, me stimule, c’est l’aspect conquête
Que cette œuvre occupe immédiatement dans mon esprit une place dans ma modeste collection, une place essentielle, unique comme si elle manquait déjà, c’est le côté portrait.
Cette collection c’est moi, regardez et devinez qui je suis !
Cette collection c’est ce que je reconnais et ce que je cherche.
Chaque œuvre complète le puzzle.
C’est très frustrant de ne pas pouvoir acheter tout ce qui m’intéresse. Et en même temps c’est ce qui rend chaque choix plus important ».
Jean-Paul
« Acquérir une œuvre c’est l’histoire d’une rencontre … Rencontre où l’œuvre me parle, me touche, m’interpelle, ou m’interroge, me fait signe… Elle « sort du lot » dans une exposition, je l’aperçois, la vois, la regarde, et m’efforce de l’oublier en poursuivant la visite … Et puis elle s’impose finalement par son sens et le plaisir qu’elle procure. Plaisir du sens, plaisir des yeux, … L’œuvre a une histoire et j’aime la découvrir, je lui propose de partager la mienne, faite d’autres histoires d’œuvres.
Ce Multiple, simple mais élaboré, solide et fragile en même temps a trouvé sa place par son propos sa démarche, le travail de l’artiste ».
Marie-Françoise
De gauche à droite, volume de Tilman, multiples de Rudy Ricciotti et estampe de Marcelo Fuentes
Verso du multiple de Rudy Ricciotti, dédicacé et un dessin en prime !
Multiple de Rudy Ricciotti.
En haut, de gauche à droite, peinture de Françoise Joudrier, estampe de René Schlosser et multiple de Rudy Ricciotti.
En bas sur le meuble de gauche à droite, une céramique de Dominique Pouchain, un vase en verre soufflé de Hervé Raspail, et dans le cadre « Papier pliage » de Les Bicknell.
